« Notre connaissance de la littérature malaise est assez paradoxale. Il s’agit d’une littérature ayant cessé de se développer et que l’on peut donc, avec le recul du temps, considérer comme un ensemble achevé, avec la liberté d’en examiner chaque partie ou d’en embrasser la totalité. Les matériaux (quelque 4000 manuscrits) en sont directement accessibles et, il y a moins d’un siècle, se trouvaient encore au centre de la vie sociale : copiés, loués, lus, mis en circulation… »
« Notre connaissance de la littérature malaise est assez paradoxale. Il s’agit d’une littérature ayant cessé de se développer et que l’on peut donc, avec le recul du temps, considérer comme un ensemble achevé, avec la liberté d’en examiner chaque partie ou d’en embrasser la totalité. Les matériaux (quelque 4000 manuscrits) en sont directement accessibles et, il y a moins d’un siècle, se trouvaient encore au centre de la vie sociale : copiés, loués, lus, mis en circulation… »