« Le Mayamata singhalais ne compte que 282 vers, ce qui indique la brièveté de ce manuel par rapport à son original sanskrit de 36 chapitres. Ce dernier, comme tous les ouvrages de ce genre, présente des renseignements techniques ainsi que les rites dans le domaine de l’architecture. L’auteur du Mayamata singhalais a cependant mis l’accent sur ce dernier aspect plutôt que sur le premier… »
« Ce petit ouvrage qu’est le Mayamata singhalais, avec son caractère particulier, a un intérêt sociologique, non seulement parce qu’il traite des rites mais aussi parce qu’il englobe certains renseignements qui décèlent la situation sociale du temps. Citons à cet égard, les données concernant les castes et les croyances populaires… »
Jinadasa Liyanaratne
Paris, le 23 août 1976.
« Le Mayamata singhalais ne compte que 282 vers, ce qui indique la brièveté de ce manuel par rapport à son original sanskrit de 36 chapitres. Ce dernier, comme tous les ouvrages de ce genre, présente des renseignements techniques ainsi que les rites dans le domaine de l’architecture. L’auteur du Mayamata singhalais a cependant mis l’accent sur ce dernier aspect plutôt que sur le premier… »
« Ce petit ouvrage qu’est le Mayamata singhalais, avec son caractère particulier, a un intérêt sociologique, non seulement parce qu’il traite des rites mais aussi parce qu’il englobe certains renseignements qui décèlent la situation sociale du temps. Citons à cet égard, les données concernant les castes et les croyances populaires… »
Jinadasa Liyanaratne
Paris, le 23 août 1976.