Marie GATELLIER. Peintures murales du Sri Lanka, école Kandyenne. XVIIIè-XIXè siècles.
Au Sri Lanka, les peintures murales des XVIIe et XIXe siècles animent, par leur graphisme et leurs coloris subtils ou tranchés, l’intérieur de nombreux sanctuaires bouddhique de la région de Kandy et du littoral Sud-Ouest de l’île. Réparties en panneaux ou en longs registres narratifs, ces peintures font revivre aux yeux des fidèles avec plus ou moins de naïveté les grands thèmes ancestraux. La vie du Buddha, ses vies antérieures, sa doctrine illustrée par des histoires édifiantes sont représentées, ainsi que divers mythes locaux concernant le passé prestigieux des Singhalais.
Ces peintures, nommées peintures de l’Ecole kandyenne, forment par leur technique à l’ancienne, leurs conventions iconographiques et la pérennité de leurs thèmes un ensemble homogène tout à fait unique dans l’art du monde asiatique. Longtemps méconnues, ces peintures ont depuis peu acquis une notoriété méritée qui, désormais, leur confère une place de choix dans le patrimoine culturel singhalais.
Marie GATELLIER. Peintures murales du Sri Lanka, école Kandyenne. XVIIIè-XIXè siècles.
Au Sri Lanka, les peintures murales des XVIIe et XIXe siècles animent, par leur graphisme et leurs coloris subtils ou tranchés, l’intérieur de nombreux sanctuaires bouddhique de la région de Kandy et du littoral Sud-Ouest de l’île. Réparties en panneaux ou en longs registres narratifs, ces peintures font revivre aux yeux des fidèles avec plus ou moins de naïveté les grands thèmes ancestraux. La vie du Buddha, ses vies antérieures, sa doctrine illustrée par des histoires édifiantes sont représentées, ainsi que divers mythes locaux concernant le passé prestigieux des Singhalais.
Ces peintures, nommées peintures de l’Ecole kandyenne, forment par leur technique à l’ancienne, leurs conventions iconographiques et la pérennité de leurs thèmes un ensemble homogène tout à fait unique dans l’art du monde asiatique. Longtemps méconnues, ces peintures ont depuis peu acquis une notoriété méritée qui, désormais, leur confère une place de choix dans le patrimoine culturel singhalais.