Baelo
Este libro conmemora 100 años de excavaciones arqueológicas en la ciudad antigua de Baelo (Cádiz) a través de 100 fotografías, comentadas por arqueólogos que participaron en dichas excavaciones hasta la actualidad.
Este libro conmemora 100 años de excavaciones arqueológicas en la ciudad antigua de Baelo (Cádiz) a través de 100 fotografías, comentadas por arqueólogos que participaron en dichas excavaciones hasta la actualidad.
Le BEFEO est une revue annuelle consacrée aux études asiatiques dans leur ensemble, sous la forme d'articles de fond, de dossiers, de chroniques et de comptes rendus ; elle est ouverte à toutes les disciplines : archéologie, anthropologie, histoire économique et sociale, histoire des religions, philologie, études de la culture matérielle, etc.
TABLE DES MATIÈRES
ARTICLES
Hugo DAVID, Les origines du Vedānta comme tradition scolastique. État du problème, nouvelles hypothèses
Depuis les premières fouilles conduites en 1917 par Pierre Paris, premier directeur de la Casa de Velázquez, la ville de Baelo est devenue l’une des agglomérations de l’Antiquité les mieux connues de l’Occident méditerranéen. Ce résultat est le fruit d’un long travail de recherche et de publication presque ininterrompu depuis un siècle.
Les fouilles d’Isṭabl ʿAntar se sont déroulées de 1985 à 2005 et ont mis au jour des vestiges sur une surface de plus de deux hectares. Elles ont livré une quantité considérable de matériels de toutes sortes, y compris de nombreux éléments organiques, dont la publication est en cours.
Les céramiques représentent une part majeure de ces trouvailles par leur nombre et leur qualité. Ce premier volume qui leur est consacré concerne des ensembles clos, le plus souvent des fosses, dont la chronologie s’échelonne du milieu du ixe siècle jusqu’à la fin du xe siècle.
Le site du Ouadi el-Jarf, fouillé depuis 2011, est un port sur la mer Rouge qui a été utilisé au début de la IVe dynastie pour se rendre par voie maritime aux mines de turquoises et de cuivre du sud-ouest de la péninsule du Sinaï. Lors de la campagne de 2013, un important lot de papyrus daté de la fin du règne de Chéops a été mis au jour à l’entrée de l’une des galeries-magasins qui sont l’un des traits caractéristiques du site. Ces documents sont à ce jour les plus anciens papyrus hiératiques jamais découverts.
Le premier volume d’Egyptian Hoards offre la liste complète des 278 trésors (dont 49 inédits) composés de monnaies ptolémaïques en or, en argent et en bronze, trouvés en Égypte et dans les zones d’influence des rois lagides. Outre cette liste, l’ouvrage se compose essentiellement d’articles présentant des trésors inédits, augmentés ou réédités, pour la plupart largement illustrés (les planches proposent plus de 3 500 monnaies en couleur).
Ce volume présente les résultats de la table ronde internationale intitulée Theban Ceramics in Hellenistic context, organisée à Karnak les 28 et 29 septembre 2014. Il marque l’aboutissement du projet « Céramiques tardives d’Égypte (ive s. av. n. è.-viie s.), entre tradition et acculturation. L’apport des sites de Karnak et d’Ermant », financé par le Labex Archimede au titre du programme « investissement d’avenir ANR-11-LABX-0032-01.
Le site de Philippes a connu une occupation d’une rare longévité, que justifient tant son emplacement stratégique, entre Macédoine et Thrace, que la richesse de ses ressources. Dès le Néolithique Ancien, cette richesse fut exploitée par une communauté humaine installée au lieu-dit Dikili Tash.
Quelle qu’ait été leur faveur auprès du public depuis les découvertes de Myrina et Tanagra au XIXe siècle, les terres cuites figurées antiques sont trop longtemps restées dans l’ombre d’une histoire de l’art passéiste. Ce n’est que tout récemment que leur étude a profondément évolué, grâce à la prise en compte de toutes leurs spécificités, tant celles des modalités de fabrication et de diffusion, qui en font un artisanat étonnamment moderne, que celles des contextes de trouvaille et des assemblages, qui renouvellent l’archéologie des pratiques funéraires et votives.