Lorsque je publiai en 1977 une version du Rāmakerti – ou Rāmāyaṇa khmer –, je lui donnai le numéro « I » pour des raisons toutes pratiques. Comme elle était antérieurement connue grâce aux éditions de l’Institut Bouddhique de Phnom Penh (I.B.), beaucoup la nommaient « Rāmakerti de l’Institut Bouddhique » (RIB), appellation logique mais non dépourvue d’ambiguïté. En effet, l’I.B. a publié un ensemble de fascicules, numérotés d’après les liasses de manuscrits :
- de 1 à 10, et
- de 75 à 80
L’analyse linguistique de cet ensemble m’a révélé qu’il ne formait pas un tout homogène. En d’autres termes, ce qu’on nommait « Rāmakerti de l’Institut Bouddhique » comporte deux versions du Rāmakerti différentes, qu’il nous incombait alors de séparer en vue de les décrire…
Lorsque je publiai en 1977 une version du Rāmakerti – ou Rāmāyaṇa khmer –, je lui donnai le numéro « I » pour des raisons toutes pratiques. Comme elle était antérieurement connue grâce aux éditions de l’Institut Bouddhique de Phnom Penh (I.B.), beaucoup la nommaient « Rāmakerti de l’Institut Bouddhique » (RIB), appellation logique mais non dépourvue d’ambiguïté. En effet, l’I.B. a publié un ensemble de fascicules, numérotés d’après les liasses de manuscrits :
- de 1 à 10, et
- de 75 à 80
L’analyse linguistique de cet ensemble m’a révélé qu’il ne formait pas un tout homogène. En d’autres termes, ce qu’on nommait « Rāmakerti de l’Institut Bouddhique » comporte deux versions du Rāmakerti différentes, qu’il nous incombait alors de séparer en vue de les décrire…