
La collection Textes arabes et études islamiques (TAEI) réunit des éditions scientifiques de textes anciens en arabe et des études portant, à travers des sources principalement écrites, sur tous les aspects de l’histoire et de la civilisation arabo-islamiques. Avec les TAEI, les publications de l’Ifao contribuent à faire connaître cet immense patrimoine et à en décliner tous les genres, en matière de sciences religieuses comme de sciences profanes, histoire, littérature, histoire de l’art.
لم يشتهرُ السّيـوطيّ ـ عند عارفي فضلِه ـ في التّصوف الإسلاميّ كما اشتهر في غيره من الفنون والعلوم، وذلك يرجع إلى أنّ ما كَتبَه السّيوطيّ في التّصوف عبارةٌ عن رسائل صغيرة الحجم، ولكنّه أُنموذجٌ للصُّوفيّ الوَاعي المُدرِك لما حولهُ مِن أفكارٍ هدّامةٍ تسَلّلتْ للتّصوفِ فشوّهت صورتَه في عين الآخر.فلقد شكا السّيـوطيّ مِن أوضاع التّصوف والمتصوّفة حولَهُ، وأرجَعَ ذلك إلى الدُّخلاءِ عليه، الذين تشبّهوا بالصّوفيّة الحَقّةِ، فاختلطَ الحابلُ بالنابلِ، وتشبّه الدّخيلُ بالأصيلِ، فحُقِّر الصُّوفيةُ على المستوى العام، فكشفَ عَوارَ الدُّخلاء وفنّد أحوالَهم في مؤلَّفِه: تأييدُ الحقيقةِ العليّة وتشييدُ الطّر
Pour connaître les routes syrienne et égyptienne du pèlerinage au Hedjaz, dans le nord-ouest de l’Arabie Saoudite, le Dʳ Alî Ibrâhîm Al-Ghabbân a recueilli les traces de toute nature laissées sur ces pistes désertiques par les pèlerins musulmans : constructions, céramiques, inscriptions et graffiti (dont certains fort anciens, et importants pour l’histoire des débuts de l’Islam).Ce travail s’appuie aussi bien sur des prospections et relevés de surface que sur des sondages archéologiques, et allie l’étude précise des différents sites à celle, plus large, du contexte historique qui rend comp
Textes arabes historiques concernant les séismes et volcans dans le monde arabe et islamique des débuts de l’ère islamique jusqu’au XIIᵉ siècle de l’Hégire (du VIᵉ au XVIIIᵉ siècle de notre ère).يقدِّم هذا الكتاب نصوصًا تاريخية عربية عن الهزّات الأرضية والظواهر البركانية في شبه الجزيرة العربية وبلاد الشام، بالإضافة إلى مناطق تمتد من بلاد الأندلس وبلاد شمال أفريقية إلى أفغانستان وجنوب الصين ومن تركيا وبلاد القوقاز وأرمينيا شمالًا إلى اليمن وبلاد الخليج جنوبًا، وذلك في فترة زمنية تمتد من القرنين الأول إلى الثاني عشر الهجريين أي من السابع إلى الثامن عشر الميلاديين، وتتفق مع موْلد الإسلام والهج
Cet ouvrage d’islamologie est l’édition de Al-Tadhkira fî ahkâm al-gawâhir wa l-a‘râd de Ibn Mattawayh (Vᵉ/XIᵉ siècle). L’éditeur a utilisé comme manuscrit principal le ms. de San‘â’, et comme manuscrit secondaire, celui de Milan. Il s’agit d’un point de vue de théologie musulmane sur les propriétés et les attributs des atomes.• Lire la présentation générale en arabe : (0.18 Mb) ou en français : (0.15 Mb)
Vers la fin du premier tiers du XIVᵉ siècle, le maître-maçon Ibn al-Rāmī décrit dans son Kitāb al-Iʿlān bi-aḥkām al-bunyān certains des litiges constructifs survenus à Tunis, alors capitale du pouvoir ḥafṣide. Son ouvrage, de portée pratique et didactique, s’appuie sur la puissante armature casuistique que lui fournit un autre texte, le Kitāb al-Qaḍā’ wa-nafī al-ḍarar, composé plus de trois siècles plus tôt par un juriste andalou, Ibn al-Imām al-Tuṭīlī (m. 396/996).
Tout entier consacré à la proche parenté agnatique convertie du Prophète, cet ouvrage vante les mérites, les fastes et les vertus de ces personnages qui ont été témoins de l’apparition de l’Islam et dont doit s’inspirer le pieux musulman. L’ouvrage que nous présentons aujourd’hui ne comprend donc que l’édition et la traduction du «Dhakhâ’ir al-’uqbâ». Il paraît ici dans sa première édition critique.
ʿUmāra, poète et diplomate originaire du Yemen, évoque les temps troublés qui ont marqué la fin de l’époque fatimide en Égypte, quand le pouvoir réel était aux mains des vizirs. Comparant le vizirat à une femme capable aussi bien de séduire que d’anéantir, il attribue à Wazâra, épouse de deux vizirs, la responsabilité des meurtres qui marquent la période. Lui-même fut témoin d’épisodes sanglants Il est présent quand la tête de Ruzzīk est apportée sur un plateau et plus tard il découvre, en longeant le canal (Al-Khalîj), celle d’un de ses successeurs au sommet d’une lance.
Cette étude s’efforce de mettre en lumière les raisons de la naissance, de l’épanouissement, puis du déclin d’une communauté urbaine musulmane.La ville de Qûs a joué, entre le XIIe et le XIVe siècle, le rôle de capitale de la partie méridionale de la Haute-Égypte.
Le « Kitâb fîhi ma’rifat al-hugag al-shar’iyya » est un traité de théorie légale (usûl al-fiqh) qui, pour l’époque, se distingue par son originalité. Son auteur, Abû l-Yusr al-Bazdawî (m. 493/1100), légiste hanafite-mâturîdite transoxian, se comptait parmi les gens du raisonnement (« ahl al-ra’y »).Fort célèbre en son temps - on a dit de lui qu’il fut le maître des hanafites en Transoxiane -, sa renommée fut éclipsée par celle se son frère, Abû l-’Usr (m.
Cet ouvrage est la publication d’une thèse de doctorat consacrée à l’histoire du Yémen à l’époque ottomane (1538-1635), présentée à travers la chronique inédite du cadi ‘Abd al-Samad al-Mawza‘i intitulée « Al-Ihsân fî dukhûl mamlakat al-Yaman taht zill ‘adâlat Âl-‘Uthmân ».
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