EFA
En cette année de commémoration du bicentenaire de la révolution d’Indépendance grecque, cette étude de Pascal M. Kitromilidès consacrée à la réception et à l’influence de la Révolution française sur les nationalismes balkaniques se devait d’être mise à l’honneur. Ce travail, dans l’édition grecque de 1990, a accompagné les bouleversements récents de l’histoire européenne, depuis les commémorations de la Révolution française en 1989 jusqu’aux évolutions des années suivantes en Europe de l’Est et du Sud-Est.
Les compétitions artistiques et sportives de type grec (agônes) connaissent leur apogée quantitatif et géographique sous le Haut-Empire. Musiciens, coureurs, boxeurs sillonnent le monde méditerranéen, de Rome à Antioche et de la Gaule à l’Afrique, pour tenter de remporter des concours aux récompenses toujours plus spectaculaires. Quand un monument est érigé en l’honneur d’un multiple vainqueur dans les grands agônes, on y grave parfois la liste de ses succès comme preuve de son excellence.
Les années 1945-1975 représentent un sommet dans les échanges culturels franco-grecs, en dépit – ou peut-être justement à cause – des crises successives que connaît la Grèce durant cette période, depuis la guerre civile (1944-1949) jusqu’à la dictature militaire (1967-1974). Le Paris de l’après-guerre exerce encore un attrait incontesté sur les élites intellectuelles et artistiques grecques, qui y trouvent à la fois un refuge contre l’arbitraire qui règne dans leur pays et une ouverture sur la modernité.
Le principal sanctuaire d’Artémis de Délos est associé à celui d’Apollon. Th. Homolle y entreprit des fouilles en 1878 mettant au jour deux temples imbriqués, un autel, un portique coudé et un ensemble de sculptures archaïques comprenant plusieurs korès. Ses travaux furent poursuivis par F. Courby, qui comprit que le temple archaïque était conservé dans le temple hellénistique, et par R. Vallois, qui fut le premier à définir les limites de l’Artémision et à en écarter l’édifice dans lequel fut par la suite reconnu le Pythion.
I risultati degli scavi condotti durante 120 anni da archeologi russi e ucraini nei siti delle antiche colonie greche del Mar Nero settentrionale, come anche sporadiche scoperte fortuite fatte negli stessi luoghi, costituiscono un immenso materiale per ricerche su vari aspetti sia delle poleis di una periferia coloniale non-mediterranea, che era in contatto con nomadi scitici, sia del mondo greco in generale. In tali ricerche si inserisce il presente libro.
Demeurée célèbre jusqu’à nos jours pour son sanctuaire d’Apollon, l’île de Délos était dans l’Antiquité un port de commerce florissant qui accueillait, aux côtés des Grecs, beaucoup d’étrangers attirés par les affaires. De nombreuses divinités exotiques y étaient vénérées, certaines d’origine orientale, d’autres venues d’Occident avec la communauté des Italiens.
Renowned to this day for its Sanctuary of Apollo, the island of Delos was a flourishing trading port in antiquity that drew both Greeks and foreigners to its shores for commercial purposes. Many exotic deities – some hailing from the east and others, introduced by the Italian community, from the west – were worshipped on the island.
Avant-propos de Fr. et R. Etienne
Palais, archives et territoires en Orient et en Égée
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