IFAO
Ce numéro commémore le centenaire de l’édition du Coran du Caire, réalisée en 1924 sous le patronage du roi Fuʾād d’Égypte. Largement passée inaperçue au moment même de sa publication, cette édition coranique s’est pourtant imposée comme référence des études islamologiques occidentales.
Ce livre contient les actes du premier colloque du groupe de travail « Egyptian Riverine Harbours », organisé à l’Ifao (Caire) du 15 au 18 septembre 2019. Ce groupe de travail, dirigé par Marine Yoyotte, Irene Forstner-Müller et Harco Willems, est le fruit d’une collaboration entre l’Ifao, l’OeAI (Caire) et l’université de KU Leuven.Ce volume rassemble dix-neuf contributions à la fois innovantes et interdisciplinaires allant de l’époque pharaonique au Moyen Âge.
Ce troisième volume des « papyrus de la mer Rouge » consacré au lot de papyrus découverts en 2013 dans le « grand dépôt » laissé à l’avant des galeries G1 et G2 du site du Ouadi el-Jarf, s’attache à la publication des documents comptables les mieux préservés qui faisaient partie de cet ensemble.
Les tombes d’Amennakht et de ses fils Nebenmaât et Khâemeter (TT 218-220), trois artisans qui vécurent sous les règnes de Séthy I et de Ramsès II, forment un complexe familial unique à Deir el-Médina et dans la nécropole thébaine. Cet ensemble se distingue tant par son architecture que par la décoration de ses pièces souterraines.L’édition de ces tombes comprend les relevés archéologiques, la description des scènes, la traduction des textes, des commentaires et des synthèses.
Ce volume réunit douze contributions issues du colloque international « Les textes funéraires en Égypte au I millénaire av. n. è. : continuités et changements de la Troisième Période intermédiaire à la Basse Époque » qui s’est déroulé à l’université de Lausanne en septembre 2021, en partenariat avec l’Institut français d’archéologie orientale et l’université de Bâle. Les études présentées dans cet ouvrage concernent plus particulièrement les textes funéraires de la Troisième Période intermédiaire (1069-664 av. n. è.) et l’époque tardive (664-332 av. n.
Les58 proposent un dossier, coordonné par Jo Van Steenbergen et Maya Termonia, consacré aux riches traditions historiographiques arabes du sultanat du Caire (VII/XIII – X/XVI siècle).
Le () couvre l’ensemble des champs de l’égyptologie depuis sa première publication en 1901. Les études qui y paraissent, dont l’aire chronologique s’étend de l’Égypte prédynastique jusqu’à l’époque byzantine, illustrent l’état des recherches actuelles dans les domaines de l’archéologie, l’épigraphie, la lexicographie, l’histoire de l’art, la religion et la philologie.Le numéro 124 réunit 14 contributions.
Le xix siècle est un moment capital pour la connaissance des musiques de l’Antiquité : la découverte de fragments de notation musicale grecque et l’étude des traités des théoriciens sont l’occasion de revisiter la musique des Anciens, tandis que les fouilles conduites à Pompéi et en Égypte mettent au jour des vestiges d’instruments que l’on s’empresse de commenter. C’est désormais le temps des premières synthèses sur l’histoire de la musique sous l’impulsion de savants allemands, anglais, belges, français et italiens.
()d’Ibn al-Zayyāt est incontestablement l’ouvrage de visites aux tombeaux le plus important et le plus complet. Son auteur a tiré bénéfice de l’expérience et des écrits de ses prédécesseurs, tels Muwaffaq al-Dīn ibn ʿUṯmān al-Šāriʿī (m. 615/1218), Ibn al-Nāsiḫ (m. après 696/1297) et Ibn al-Ǧabbās (m. après 736/1336).
() d’Ibn al-Ǧabbās (m. après 736/1336) est le seul ouvrage traitant des visites aux tombeaux qui soit composé suivant le critère chronologique de la succession des générations ().Cette édition critique est basée sur un manuscrit rare écrit en Égypte et restauré par l'historien Šihāb al-Dīn b. al-ʿAǧamī, (m. 1086/1675) qui en était le propriétaire. Nous ignorons, en revanche, à quelle date précise il a été transmis à al-Zāwiya al-Nāṣiriyya, au sud-est du Maroc.
Pagination
- Page 1
- Page suivante